Picasso lui a longtemps fait de l'ombre. Braque prend sa revanche. Une exposition lui est consacrée au Grand Palais jusqu'au 6 janvier. Elle retrace ses 57 ans de création. Bien sûr, sa période cubiste est la plus visible. Mais le public pourra aussi admirer ses débuts fauves et sa fin poétique. Ses oeuvres ont une beauté à la fois cérébrale et matérielle qui demande une méditation pour être appréciée, comme un haïku.
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