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lundi 5 octobre 2015

Du soufre et des pigments

Fragonard est un coquin. Comme tout artiste, sans doute. Il faut bien un certain goût pour la beauté du corps pour passer des heures en atelier à dessiner des nus. Mais son espièglerie ne se limite pas à la chair. Elle est surtout dans la transcription de la relation amoureuse. Du romantisme, de la sensualité… En voilà une révolution…


Fragonard amoureux, c’est au Musée du Luxembourg.
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