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mardi 17 décembre 2013

Petit Palais : la peinture du Flamand Jordaens en lumière

Il ne reste qu'un mois pour en profiter. Une grande rétrospective consacrée à Jacques Jordaens a lieu au Petit Palais depuis la rentrée. Elle se termine le 19 janvier. Elle répare une injustice. Le peintre flamand est en effet moins connu en France que ses compatriotes du XVIIe siècle, Rubens et Van Dyck. Un grand nombre de ses peintures sont rassemblées et mises en scène de façon à lui rendre la gloire qu'il mérite. Parmi ces 120 œuvres, se trouvent de vastes toiles aux couleurs étincelantes, des portraits de famille, des scènes de banquets, des tableaux d'autel, de grandes compositions mythologiques etc. Pour les plus curieux, de nombreuses propositions pédagogiques inédites jalonnent le parcours de l'exposition. 

Horaires : du mardi au dimanche de 10h à 18h, nocturne le jeudi  jusqu'à 20h. Fermeture le lundi et les jours fériés. Plein tarif : 11 euros. Tarif réduit : 8,00 euros. Demi tarif : 5,50 euros. Petit Palais, Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, Avenue Winston Churchill, 75008 Paris. Tel : 01 53 43 40 00. Plus d'informations sur : http://www.petitpalais.paris.fr/fr/expositions/jordaens-1593-1678


vendredi 13 décembre 2013

A la recherche du Paris perdu

A l’occasion du jubilé de Notre-Dame de Paris, qui célèbre ses 850 ans, le parvis et la muséographie de la Crypte archéologique sont entièrement rénovés. Les opérations de nettoyage archéologique, les nouvelles découvertes et les technologies modernes mises en place permettent une restitution claire et interactive de la capitale à travers les âges. Voyage entre Lutèce et Paris…


Paris disparu, Paris restitué

Plusieurs organismes, dont le Musée Carnavalet, se sont associés pour proposer une exposition originale sur l’histoire de la capitale. « Paris disparu, Paris restitué » permet aux visiteurs de replacer les traces archéologiques conservés sous le parvis dans le contexte architecturale et historique de leur époque. Du Lutèce de la période antique au Paris du baron Haussmann, les vestiges sont mis en scène au moyen d’une expérience 3D invitant les visiteurs à flâner dans les arènes (rue Monge) ou la rue Neuve Notre-Dame. Gravures, maquettes et écrans tactiles mis à disposition offrent par exemple la possibilité de visualiser les différentes étapes de la construction de Notre-Dame, de 1163 à 1350.
Un voyage étonnant dans le vieux Paris à ne pas manquer, dans un lieu atypique à quelques rues seulement des hôtels Saint-Vincent, Saint-Thomas-d'Aquin et Lenox.

"Paris disparu, Paris restitué", du 13 décembre 2012 au 31 décembre 2014

Crypte archéologique du Parvis de Notre-Dame 
De 10h à 18h
Plein tarif: 5€/Réduit:3,5€/Jeune:2,5€

 

mercredi 11 décembre 2013

Restaurant Di Como : un air de Lombardie rue du Bac

Son nom est une référence au lac de Côme, au Nord de l'italie. Le restaurant Di Como vous y emmène le temps d'un repas. La Lombardie est la région natale du chef de cuisine, Alessandro Gelpi, qui tient ses secrets culinaires de ses grands-parents. Ses hôtes ont donc affaire à de l'authentique cuisine italienne. Celle-ci est copieuse et savoureuse. Le prix de ses plats, entre 10 et 27 euros, est raisonnable. Surtout s'il s'agit de s'évader au-delà des Alpes, à deux pas des hôtels Lenox, Saint Vincent et Saint Thomas d'Aquin. 

Restaurant Di Como : 16, rue du Bac. Tel : 01 42 60 37 74. 


jeudi 5 décembre 2013

L'Amérique latine à l'honneur à la Fondation Cartier


   Du 19 novembre 2013 au 6 avril 2014, la Fondation Cartier pour l’art contemporain présente América Latina 1960-2013, en coproduction avec le Museo Amparo de Puebla (Mexique). L’exposition offre une perspective nouvelle sur la photographie latino-américaine de 1960 à nos jours, à travers le prisme de la relation entre texte et image photographique.
   Rassemblant plus de soixante-dix artistes de onze pays différents, elle révèle la grande diversité des pratiques photographiques en présentant aussi bien le travail de photographes que des œuvres d’artistes contemporains.
Cette exposition, véritable plongée dans l’histoire du sous-continent latino-américain, nous invite à (re-)découvrir des artistes majeurs rarement présentés en Europe.
   Un événement à ne pas manquer, non loin des hôtels Saint-Vincent, Lenox et Saint-Thomas d'Aquin, dans un lieu à l'architecture moderne et épurée, à deux pas du cimetière Montparnasse où reposent de nombreuses personnalités françaises (Marguerite Duras, Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir, Charles Baudelaire...)


Horaires : Ouvert du mardi au dimanche de 11h à 21h. Nocturne le mardi jusqu’à 22h. Fermeture le lundi. Fermeture les 25 décembre et 1er janvier.


Fondation Cartier

261, Boulevard Raspail

Paris
75014
Raspail   

lundi 2 décembre 2013

La joaillerie prend ses Cartier au Grand Palais

Elle est éclipsée peut-être par la célébrité du nom et l’éclat des diamants. Mais l’histoire complexe et foisonnante de Cartier demeure trop peu connue. C'est pourquoi la Réunion des musée nationaux organise une exposition en son honneur au Grand Palais. Elle se tient du 4 décembre au 16 février. 

La grande maison de joaillerie a joué un rôle très important dans l’histoire des arts décoratifs. Ses créations, du classicisme du « joaillier des rois » aux inventions radicales du style moderne, entre géométrie et exotisme, offrent un témoignage passionnant sur l’évolution du goût et des codes sociaux. Joaillerie, horlogerie, objets aussi pratiques que raffinés : Cartier a séduit les personnalités les plus élégantes du XXe siècle. 

Plus d'information sur : http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/cartier-le-style-et-lhistoire